A Monaco, les deux Renault disposent enfin d'un double turbo : deux KKK à la place du simple Garrett. Arnoux reçoit la RS10 tandis que Jabouille fait débuter la RS11 plus légère et dotée d'un nouvel aileron arrière. Avec les deux turbos, le temps de réponse diminue et les F1 sont plus efficaces. Malgré cela, les deux Renault se qualifient en dernière ligne suite à divers problèmes. En course, Arnoux s'accroche avec Piquet au 8ème tour et Jabouille connait des soucis de suralimentation et doit passer plusieurs fois au stand. Il termine 7ème à 8 tours et est non classé pour distance parcourue insuffisante.
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